
De 88 à 8 ans, "La fabrique des songes" nous a invité
à la découverte de la poésie. On se plait à être enfant, l'art est de se laisser porter et de prendre son temps. On danse devant "le silence des mondes" le temps
d'une valse, on entre en scène et on visite les coulisses théâtrales ou club de jazz de C. Lena, quand à Flop ses machines à projeter faites de bric et
broc, nous enchantent. La magie de la cafetière dont le couvercle se soulève est à l'œuvre, image inversée, coquelicots fragiles sur un fil se plient au vent sous l'effet
d'astucieux mécanismes. Tout un monde entre fragilité et onirisme.