
A l'heure où le net est assailli de recherches pour consommer le rocher, osons nous perdre encore dans ces Calanques pour y trouver l'insolite, même pour du
facile. Les belles escalades se pratiquaient après plusieurs repérages dans le massif. Qu'en est il aujourd'hui de ce temps de recherche? de
la patience? du plaisir de se perdre? Bientôt ce temps n'existera plus s'il n'y a plus qu'à suivre un balisage des voies. Merci à mon ami "archiviste-grimpeur", mémoire de ce
passé où la grimpe était un art de vivre et non un "prêt à grimper".